21 Jun une séance photo qui m’a fait voyager dans l’imaginaire
«Dans cette maison ancienne, chaque coin raconte une histoire et chaque miroir a vu le temps passer. Dans cette élégante robe aux imprimés floraux et à la dentelle délicate, je suis enveloppée par l’essence d’une époque révolue et je me sens comme une princesse éthérée et intemporelle dans mon royaume de souvenirs et de beauté classique.»
après une magnifique séance photo avec cette belle robe, j’ai eu assez d’inspiration pour écrire quelques vers fantaisistes sur ce qu’elle m’a fait ressentir….
Le refuge des roses anciennes
Au cœur de la forêt, là où les arbres murmurent des secrets et où les feuilles gardent les échos du passé, se dresse une vieille maison. Ses murs de pierre, usés par des siècles de vent et de pluie, semblent renfermer les souvenirs des générations passées. Chaque recoin raconte une histoire : les rires des enfants qui ne sont plus là, les soupirs des amoureux qui se sont rencontrés dans l’ombre, les rêves tissés dans les fils de la nostalgie.
À l’intérieur de cette maison, un miroir ancien est accroché dans le hall d’entrée. Son cadre sculpté représente des fleurs entrelacées, comme pour capter la beauté éphémère du temps. Quand je le regarde, je vois une femme aux cheveux de feu et aux yeux pleins de mystère. La robe que je porte est un trésor : des imprimés floraux qui semblent surgir de jardins oubliés, de la dentelle qui raconte des histoires de danses et de promesses.
Chaque fois que je franchis le seuil de cette maison, j’ai l’impression de passer d’une dimension à l’autre. Je suis enveloppée par l’essence d’une époque révolue, comme si les fantômes des anciens habitants m’accueillaient avec des bras invisibles. Les lattes du parquet craquent sous mes pieds, comme si elles voulaient me révéler leurs secrets. Les rideaux de dentelle se balancent dans la brise, comme s’ils rappelaient les soupirs des dames qui les ont suspendus il y a des siècles.
Dans le grand hall, un piano branlant attend que quelqu’un caresse ses touches. Je m’assieds devant et laisse mes doigts suivre la partition invisible d’une mélodie ancienne. Les notes coulent comme des soupirs, comme si le temps s’était arrêté pour écouter. Qui a joué de ce piano avant moi ? Quelles histoires se cachent dans ses cordes usées ?
Ainsi, avec la robe élégante qui m’enlace et le miroir comme témoin silencieux, je me sens comme une princesse éthérée. Mon royaume n’a pas de frontières, seulement des souvenirs et une beauté classique. Dans cette ancienne maison, je fais partie d’un conte qui se déroule dans les chuchotements et les ombres, où les roses fleurissent même en hiver et où le temps s’estompe dans un murmure.
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